[:fr]Des abus à abolir, restent évitables au gré.[:]

[:fr]Le sujet concerne une pratique tres prisee en amerique du nord et dans quelques monarchies d’europe (les republiques sont moins tentees). C’est le sinistre pouvoir discretionnaire qui est en fait une prerogative accordee par la loi a une instance administrative ou a un-e representant-e de la loi (un-e agent-e de l’ordre ou un-e agent-e de l’immigration) selon laquelle une decision ou un jugement peut etre pris en toute discretion conformement a la loi. Cette decision peut etre revocable par un juge ou une instance superieure dans l’hierarchie politique, apres controle et decouverte de non conformite. Cela n’empeche pas une derive arbitraire de la part de l’agent ou de la part du juge qui controle la decision. Donc une derive n’est pas impossible.

Il est non seulement le temps d’abolir cette pratique qui date du temps du regne de la monarchie mais aussi de s’inspirer de certaines pratiques des republiques. On est au 21 ieme siècle il n y a pas de honte d’apprendre des autres.

N’attendons pas encore qu’il y est encore des miliers de victimes de l’arbitraire de l’immigration, baisser les criteres et les conditions d’admission pour que l’acceptation ne soit plus le fruit d’une humeur ou d’un desir arbitraire, mais elle sera selon quelques conditions fixes et la portee de toutes les bonnes personnes. Le nombre des victimes du pouvoir discretionnaire est inconnu dans les autres domaines de l’administration hormis l’immigration, depuis des siecles.
– Andrew. [:]